Co-éducation
Parmi les sujets que la crise sanitaire et le confinement ont mis sur le devant de la scène, l’éducation a un rôle majeur. A la suite du texte « penser l’avenir, avec notre réseau – quelles analyses aujourd’hui, quels changements pour demain » où l’on pointait notamment autour de la question éducation : comment faire pour ne pas creuser toujours plus les inégalités scolaires dans un moment où l’accompagnement des parents est le principal levier, le conseil d’administration de la FCSF a souhaité pouvoir impulser une dynamique de fond sur les enjeux éducatifs dans la période et pour l’avenir.
Sur la base d’échanges au sein des instances de la FCSF, d’un travail au sein du groupe thématique famille, nous vous proposons cette attention collective, ouverture d’un chantier pour notre réseau autour des centres sociaux, bâtisseurs de coéducation. Une introduction dans une période singulière à un chantier de fond sur le projet éducatif des centres sociaux, au croisement des questions de démocratie et de justice sociale que nous porterons ensemble lors de la démarche congrès 2020-2022.
Retrouvez ici l’intégralité du texte « Les centres sociaux, bâtisseurs de coéducation »
Des initiatives inspirantes !
Quelques actions inspirantes portées par des centres sociaux et des fédérations autour des enjeux éducatifs !
Un rapide tour d’horizon – non exhaustif !
Autour des relations avec l’Education Nationale
Dans le cadre de la coordination du CLAS sur le département des Pyrénées Atlantiques, la Fédération locale a interpellé la Direction Académique des Services de l’Education Nationale afin de partager les initiatives des centres sociaux, les difficultés rencontrées et inviter à la mise en place d’un dialogue approfondi après la crise sanitaire afin d’accompagner au mieux les familles et les enfants. Retrouvez ici le courrier envoyé au directeur académique du département et ici le bilan des actions CLAS
Dans le Maine et Loire, le Réseau Parentalité à rédiger avec la CAF et l’Education Nationale une document pour présenter aux écoles les contributions possibles de l’accompagnement à la scolarité (CLAS) et des centres sociaux à leurs côté, accompagné du listing des structures à solliciter. Retrouvez ici le document : Continuité éducative et accompagnement des familles : quelles coopérations
Travail en réseau …
En Bretagne, la Fédération a initié en Avril 2020 une dynamique autour de l’accompagnement scolaire, avec notamment un questionnaire à destination des centres pour qualifier les pratiques, des vidéos-conférences avec les référents des CLAS, accompagnement scolaire et les bénévoles pour dégager des pistes et des rencontres avec une formatrice pour travailler sur les questions de culpabilité des parents, lutter contre les effets anxiogènes de la période, les compétences du socle commun, etc. Des ressources à retrouver ici : https://fr.padlet.com/clara_canis/dnuvj8wr9zer080c
En Seine-Saint-Denis, la Fédération a réalisé une fiche capitalisant les enseignements, questionnements et actions conduites dans le cadre de l’accompagnement à la scolarité en période de confinement et à l’heure de la réouverture des centres sociaux, à retrouver ici (ainsi que la rubrique des ressources éducatives et culturelles sur le site de la fédération) .
Collecte de paroles
En Nord Pas de Calais, la période de confinement a mis en évidence plus que jamais le nécessaire lien entre tous les acteurs éducatifs (parents, enseignants, acteurs de quartier) d’un territoire pour réunir les conditions indispensables à la coéducation. Cette situation a mis au grand jour certains dysfonctionnements, mais a aussi poussé des personnes à dépasser des limites qu’ils s’étaient données jusque-là. Dans la poursuite de la dynamique du projet « Famille-Ecole-Quartier, ensemble pour la réussite de tous les enfants », le réseau propose ainsi de capitaliser et d’analyser les difficultés rencontrées, les solutions de coéducation et d’alliances ayant émergé. Il s’agit ainsi de construire, renforcer les conditions du partenariat à installer pour les périodes « ordinaires » comme pour les éventuelles nouvelles périodes d’urgence. A cet effet, dans la dynamique des croisements de savoirs , des temps d’échanges sont proposés entre pairs pour récolter les points de vue des différents acteurs et prendre le temps de poser ensemble les éléments de réussite qu’il est important de préserver, de poursuivre ou ce qu’il ne faut absolument plus rencontrer dans les pratiques. Vous trouverez notamment ici le déroulé de ces séances !
Dans les Pays de la Loire, un retour d’expérience sur l’ouverture aux vacances de printemps d’un centre de loisirs accueillant des enfants de 3 à 12 ans : « Les conditions (les) avaient amenés à se libérer d’une logique de programme, de projets, d’anticipation d’activités. Nous nous sommes recentrés sur l’essentiel à savoir prendre le temps de rencontrer les enfants, d’écouter leurs ressentis et leurs envies. Bref de simplement d’offrir un espace d’accueil collectif où les enfants sont écoutés et ce qui est mis en œuvre se fait le plus possible à partir de leur expression. » à lire ici ou encore sur ce témoignage ici : « on a commencé par proposer les activités imaginées par les animateurs mais très vite, on a privilégié le vécu sur le prévu, les enfants se sont lancés dans la construction de bateaux pour la bataille navale géante, on a improvisé et on a tous passé un super moment […] Il est grand temps […] de laisser davantage la place aux enfants dans l’organisation de nos ALSH et l’élaboration des programmes. »
en direct des centres sociaux
Le centre social comme passage, le clas comme passeur, sur le chemin de l’école… de l’individuel au collectif
Le centre social Espace Carnot à Le Portel anime des temps d’accompagnement à la scolarité “Pause cartable” au sein de deux écoles depuis 6 ans.
A partir du 11 mai, l’équipe d’animation du Clas a été en contact renforcé avec les familles par téléphone, groupe facebook “Pause cartable”, pour recueillir leurs besoins.
A compter du 18 mai, l’équipe CLAS a proposé un accueil individuel enfant-parent sur rendez-vous d’une heure et demie avec un animateur, en après-midi de 13 h 30 à 18 h, dans les locaux du centre. L’idée était d’accompagner les élèves “décrocheurs” et les parents anxieux. Le fait d’être accueilli en individuel était rassurant pour reprendre contact avec l’extérieur.
Depuis le 8 juin, le CLAS fonctionne à nouveau en mode collectif, toujours dans les locaux du centre, l’occasion de retrouver les copains et copines, de faire le pas de plus avant un retour à l’école. Une attention particulière est accordée à l’accueil des parents qui emmènent leurs enfants.
Pour l’été, le centre proposera des temps d’animation en petits collectifs, un accueil hors les murs … avec une visée de continuité pédagogique.
Retour d’expérience d’Anne-Laure Martin-Daudin, animatrice-coordinatrice du secteur social-famille au centre social de Chemille-en-Anjou dans le Maine et Loire
Au centre social de Chemille, ce sont une cinquantaine d’enfants qui sont accueillis au sein du CLAS (Contrat Local d’Accompagnement à la Scolarité) deux fois par semaine, une action qui permet d’atténuer les difficultés que peuvent rencontrer les parents dans l’accompagnement de leurs enfants et qui s’inscrit dans une approche globale de la famille. Mi-mars dernier, après la sidération engendrée par le confinement, le centre s’est rapidement mobilisé vers du contact auprès de l’ensemble des familles et enfants du centre social. Un lien qui a pris la forme de contacts téléphoniques et mails avec les familles. Cela a permis d’identifier des familles qui pouvait être le plus en difficultés et leur permettre une écoute attentive mais aussi parfois du prêt de matériel informatique, etc.
Avec la sortie progressive du confinement, l’équipe a partagé son analyse d’une forme de révolte face aux situations d’inégalités entre les familles et de la nécessité pour le centre d’agir avec et pour les parents et les enfants. Ainsi, dès le 18 mai, afin de permettre aux parents de se retrouver, d’avoir un lien physique avec les familles, un espace d’expression et d’écoute des familles a été mis en place avec un accueil individualisé par créneau d’1h.
Un été singulier !
A l’heure où se prépare l’été, comme les autres années, le centre prépare des séjours et un accueil de loisirs pour les familles du territoire. Cependant, au vu du contexte et des retours des familles rencontrées, une vigilance sera faite pour permettre à ces familles fragilisées d’avoir une proposition spécifique qui s’inscrit dans le cadre des vacances apprenantes et se travaille aujourd’hui en lien avec les services de la DDCS. Une attention particulière, un accompagnement « renforcé » des familles, à la fois pour lever les freins financiers à l’inscription des enfants mais aussi pour favoriser le lien aux familles de manière globale. Egalement, le centre assure un lien privilégié avec l’ensemble des professionnels du territoire pour permettre l’identification des familles les plus en difficultés. L’enjeu éducatif de la période est aussi travaillé avec les animateurs, en identifiant notamment dans les activités ludiques tous les apprentissages permis.
Une période qui fait évoluer les pratiques
La période de confinement a été aussi révélatrice de nouvelles pratiques pour la référente famille du centre. Le temps passé en individuel avec les familles au téléphone durant deux mois a permis souvent d’en apprendre davantage sur les familles ! Ce temps privilégié permis par ce contact à distance étant parfois trop rare dans des temps davantage tournés vers le collectif.
Dans l’analyse portée sur la période par l’animatrice-coordinatrice du centre social, l’un des enjeux forts est ainsi cette capacité à davantage individualiser l’action en direction des familles. Face aux injonctions de certains financements et à une course « aux chiffres », la promotion du collectif a en effet parfois diminué la capacité à être en lien direct avec les familles. Cette action est plus longue, demande davantage de ressources mais elle est nécessaire pour prendre en compte chaque famille dans sa singularité, dans son histoire et son vécu.
La période a été aussi synonyme d’un renforcement de la transversalité dans l’action du centre social avec des liens forts entre les secteurs famille et enfance-jeunesse pour travailler les complémentarités des propositions faites aux familles notamment. Anne- Laure Martin-Daudin explique aussi les liens importants avec les écoles du territoire et les enseignants mais le besoin d’une reconnaissance aussi de l’Education Nationale de ce que permet entre autres le CLAS et l’action de coéducation des centres sociaux.
Quelles perspectives pour la rentrée ?
La rentrée 2020 s’annonce singulière et complexe, car remplie d’incertitudes. Toutefois, les bénévoles mobilisés sur le CLAS témoignent aujourd’hui d’une forte motivation. La volonté est notamment de pouvoir davantage individualiser le lien avec les enfants, en permettant des binômes bénévoles/enfant dans une logique de « parrainage ». Il s’agit aussi de pouvoir construire avec les bénévoles un accompagnement qui ne se limite pas à de l’accompagnement scolaire mais qui permet tout au long de l’année d’accompagner l’enfant dans sa globalité : accueillir ses émotions et son vécu de la période, avoir une vision de sa famille et de ce qu’il vit, mieux connaître son histoire, etc. C’est aussi des liens en dehors du CLAS avec les familles que le centre souhaite mettre en place pour renforcer ce compagnonnage.
Au total, Anne-Laure Martin confie avec enthousiasme et conviction que le confinement aura permis de remettre en avant la question du « prendre soin dans sa grande globalité » et de se donner du temps pour y réfléchir ! C’est avec ce leitmotiv incarné par de l’écoute active, du temps et de l’engagement que l’action – revisitée – va se poursuivre !
Témoignage recueilli et retransmis par Hugo BARTHALAY
Juin 2020
Rencontre- témoignage avec Miren Juzan, au sein de l’espace de vie sociale Le Savoir Partagé à Salies de Béarn en Pyrénées Atlantiques.
Le Savoir Partagé est un espace de vie sociale situé à Salies de Béarn qui organise notamment tout au long de l’année des ateliers CLAS pour les enfants et pour les jeunes. Ces ateliers ont la particularité d’alterner des temps d’accompagnement aux devoirs et des temps de jeux mais aussi des ateliers cuisine pour les 6-10 ans : « les p’tits marmitons ».
Avec le confinement, l’association a souhaité conserver un lien fort avec les familles en privilégiant des propositions permettant de maintenir les liens familiaux et des temps privilégiés d’échanges. Cela a pris la forme durant le confinement mais aussi après d’organisation de défis culinaires et à l’approche de l’été de bilan-goûters pour mettre en avant toutes ces pépites !
Miren Juzan, la coordinatrice de l’association nous a partagé aussi le lien privilégié avec l’école du territoire tout au long du confinement, notamment à travers une newsletter avec des idées d’activités et des conseils pour les parents diffusés chaque semaine et relayé par l’école. Mais aussi des liens forts avec la directrice et la participation à des temps d’échanges en visio avec l’équipe éducative. La période a ainsi permis de réellement valoriser le rôle de l’association vis-à-vis de l’école et de renforcer les liens.
Avec la reprise des actions et la possibilité de se revoir, Miren Juzan confie que le partenariat se réinvente dans le cadre du CLAS, notamment avec l’identification d’un besoin fort des enfants et des familles de souffler. Par exemple, une bénévole mobilisée sur l’accompagnement scolaire a mis en place des groupes de paroles avec les enfants à raison de 4 séances afin d’échanger sur le vécu du confinement, leurs projets pour cet été et s’évader un peu !
L’association a aussi ré-imaginé son été avec des temps de rencontres sur le territoire : des balades, des pique-niques, des cours de danse. Le besoin aujourd’hui exprimé est de souffler et de se revoir. A l’heure où commence à s’imaginer la rentrée, Miren Juzan témoigne d’une volonté de mise en place de davantage d’espaces de parole et d’expression sur le CLAS jeunes et sur le CLAS enfant. La restitution de ces paroles seront travaillés à la rentrée avec les enfants et les jeunes !
Enfin, Miren Juzan nous partage aussi son regard sur cette période singulière : une mobilisation forte mais une réelle frustration de ne pas pouvoir voir les familles, la complexité de l’utilisation des outils numériques pour certaines familles et aujourd’hui une crainte que la période ait favorisé l’isolement de certaines familles avec des actions en cours par l’association pour reprendre le lien. Et pour terminer, le constat que la période a été aussi positive pour beaucoup de familles qui ont ainsi pu faire une pause et prendre le temps de faire des choses en famille, avec les enfants !
Propos recueilli et retransmis par Hugo BARTHALAY – 26 juin 2020
Retour d’expérience sur la mobilisation du CLAS de l’EVS Diapason du Vic-Bilh à Lembeye dans les Pyrénées-Atlantiques avec Emilie Lagouardette, référente du CLAS
L’espace de vie sociale de Lembeye – porté par l’association Diapason du Vic-Bilh est situé dans une commune de 800 habitants qui compte un collège de 260 élèves en milieu rural. Dans le cadre du Contrat Local d’Accompagnement à la Scolarité, l’association s’est mobilisée durant le confinement pour rester en lien avec les familles. Un accompagnement qui s’est notamment traduit par un accompagnement des parents et des jeunes aux usages du numérique : savoir imprimer, scanner, mais aussi utiliser Pro note (logiciel de vie scolaire au collège).
Avec la sortie progressive du confinement et le retour au collège, l’association a identifié – avec le collège – les jeunes en décrochage et repris le contact individuellement avec chaque famille. Il s’agissait notamment de jeunes ayant des TDAH (Troubles du Déficit de l’Attention avec ou sans Hyperactivité) ou des troubles « dys ». Un format nouveau a été développé puisque l’animatrice du CLAS est allé au domicile de chaque famille. Une nouvelle façon d’être aux côtés des familles, d’échanger, de proposer des moments privilégiés de jeux et d’échanges. Un accélérateur de liens confie également Emilie Lagouardette la coordinatrice du CLAS , « on construit un lien en quelques jours que l’on met d’habitude 2 ans à bâtir ». En complément de ces interventions dans les familles, des groupes étaient accueillis par 3 ou 4 enfants tous les jours de la semaine au sein de l’association.
Dans les liens avec le collège du territoire, c’est davantage dans l’informel que les choses se construisent, avec des relais entre les professeurs et le CLAS pour identifier les élèves en difficulté, assurer le lien avec les familles, etc. Au bout de 4 années, les liens se sont ainsi resserrés. Emilie revient ainsi sur cette importance de l’informel dans les relations avec les professeurs, les familles du territoire, l’association étant un véritable « trait d’union » pour assurer ce lien.
L’été se prépare aussi avec des propositions de sorties hebdomadaires pour les enfants du CLAS , des sorties qui s’inscriront dans le cadre des vacances apprenantes avec des propositions ludiques et éducatives à l’instar d’un aventure game sur les travaux d’Hercule ! Avant la rentrée, l’association propose également habituellement « la remise en route », cette année le format évoluera avec probablement deux semaines pour favoriser l’accueil d’un nombre plus important d’enfants.
Enfin, Emilie nous confie aussi comment la période a mis en lumière les inégalités, à l’instar des choix d’orientation des 3ème où les choix ont souvent été dictés ou se sont fait dans la précipitation. Elle témoigne aussi d’un regard stigmatisant porté sur les familles et de la place des structures comme les espaces de vie sociale pour construire le lien aidant à identifier ces difficultés et à cheminer ensemble.
Propos recueilli et retransmis par Hugo Barthalay – 25 juin 2020
Des ressources pour penser et agir !
Nous vous proposons ci-dessous des vidéos, des publications et des guides autour des questions de coéducation notamment ! Bonne découverte !
En Vidéo...
Comment penser l’alliance éducative « parents-enseignants » au retour du confinement
Gérard Neyrand, sociologue de la famille (interview Yapaka.be)
Relations écoles-familles dans la période de confinement et au retour
Pierre Perrier, sociologue (webinaire FCSF)
Les grandes évolutions de la famille, du sens du soutien à la parentalité et de la coéducation
Gérard Neyrand, sociologue de la famille (interview)
Penser l’après … ensemble,
webinaires ACEPP
Faire famille au temps du confinement et en sortir : comment renouer autour de l’enfant l’alliance éducative entre adultes ?
Daniel Coum, psychologue clinicien et psychanalyste: (interview Yapaka.be)
Les relations famille-école à l’horizon 2020
Gilles MONCEAU, professeur en sciences de l’éducation (intervention filmée, Académie de Versailles)
À lire… pour poursuivre la réflexion !
Et si on parlait sérieusement de l’accompagnement à la scolarité
Gérard Castellani
Avec les parents
1999 , Revue Ouvertures FCSF
Familles-école : construire une confiance réciproque
Jean Louis Auduc, Canopé, 2016
Co-éducation : quelle place pour les parents ?
Annie FEYFANT, dossier veille de l’IFE, 2015
Projet éducatif local
2001, Revue Ouvertures FCSF
Les parents et l’école : trente ans de réflexion
Cahiers pédagogiques, 2015
L’action sociale et la fonction parentale, héritage et renouveau
publié en 2007 par l’INJEP avec notamment la contribution de la FCSF sur les enjeux de coéducation
Quelques ressources pour l’action
Les centres de loisirs, acteurs du déconfinement éducatif
guide publié par les Francas, 2020
Repères pour l’accompagnement à la scolarité en centre social, pistes de réflexions pour les coordinateurs et les accompagnateurs
Fédération des centres sociaux de Paris, 2011
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